
Entre ici et toi est le premier roman de Karen Landry, qui est le fruit d’un rêve qu’elle chérissait depuis longtemps, et qui a pu être concrétisé grâce à des formations d’écriture qu’elle s’est autorisées à suivre. Livre qui a d’ailleurs été dans le palmarès Renaud-Bray peu de temps après sa parution. C’est inspirant!
Dans ce premier roman, l’autrice nous présente Livia, jeune femme dans la vingtaine, organisée et qui aime que les choses soient prévisibles, autant dans sa vie que dans ses relations amoureuses… Jusqu’au jour où elle rencontre Ghyslain!
En résumé
» Livia baigne dans sa zone de confort depuis sa plus tendre enfance. C’est dans cette bulle réconfortante, sécuritaire et prévisible qu’elle fait toutes ses rencontres amoureuses vivant, rendez-vous après rendez-vous, petites et surtout, grandes déceptions… jusqu’à ce que Ghyslain, un surfer-photographe fraîchement débarqué de Californie entre dans sa vie à l’improviste.
C’est le coup de foudre. Leur romance estivale se transforme en aventure d’une vie pour Livia, qui décide de suivre Ghys sur la côte ouest. La nouvelle est bien accueillie dans son cercle, sauf pour Nicolas. Son meilleur ami, protecteur, trouve que ce n’est pas dans son tempérament de tout quitter pour un homme qu’elle connaît à peine.
Un silence lourd s’installe entre eux. Livia aura-t-elle le courage de surfer cette immense vague? Sa relation avec Ghyslain a-t-elle une date d’expiration?. »
Mon (humble) avis
Ce n’est pas le premier livre de la maison d’édition québécoise kairos que je lis (je vous en présente 3 juste ici!). Encore ici, on peut assister à des réflexions personnelles, des comportements pas toujours irréprochables mais sans être dans la toxicité et suivre l’évolution de la protagoniste dans l’histoire.
Le livre nous fait un peu voyager, nous amènant jusqu’en Californie en bord de mer. Une belle histoire d’amour, intense, mais est-ce trop beau pour être vrai?
Une lecture qui plaira aux amatrices de romance (toujours de la green romance™ chez kairos!) et qui se dévore rapidement. Bravo Karen pour ce premier roman!